Demande de promulgation d’un décret Twitter de dissolution des éditions Gallimard
Demande solennelle et circonstanciée pour la dissolution des éditions Gallimard et affiliés. Suite aux annonces de dissolution du ministre de l’intérieur, concernant notamment les éditions Nawa, et après avoir soigneusement étudié les arguments publiés par le décret Twitter du 29 septembre 2021, ainsi que ceux développés lors de la dissolution du CCIF et affiliés divers et variés, en vertu de l’article 1 de la déclaration des droits de l’homme (à laquelle renvoie le préambule de la constitution de 1958, à valeur constitutionnelle supérieure aux décrets Twitter jusqu’à nouvel ordre) lequel pose notamment l’égalité des citoyens devant la loi, nous demandons par la présente, et par analogie universaliste, la dissolution des éditions Gallimard et attendons une réponse urgente du Conseil des Ministres et surtout du Community Manager du Ministre de l’Intérieur sur Twitter. Il est reproché aux associations dissoutes d’entretenir des liens étroits avec les tenants d’un islamisme radical, d’être en lien avec des personnes tenant des propos relativisant ou légitimant le terrorisme, de susciter des commentaires hostiles aux autres croyances sans apporter aucune modération, de ne pas avoir pris de distance ni ne s’être désolidarisé avec tout un tas de gens compromettants. Considérant tout d’abord que Gallimard était en contact étroit avec son éditeur et membre du comité de lecture Richard Millet, celui-ci ayant de son propre aveu, participé à des actes de violences et de guerre aux côtés de milices chrétiennes au Liban. Que le dit Richard Millet a consacré un ouvrage entier à l’apologie du terroriste Andres Breivik dans…